« Aurélien » : LIntrigante Stéphanie. 9/15
LorsquAlban Tessier le peintre, confia à Claire la femme de Paul Prévost, quil avait besoin delle, celle-ci lui demanda prestement :
Ah oui ! Pourquoi donc ? répondit-elle, impatiente den savoir plus. « Lui tendrait-il une perche ? » se demandait-elle.
Jaimerais quune femme de goût comme vous lêtes, me conseille sur la décoration intérieure de ma nouvelle maison.
Claire jeta un regard vers Paul, elle attendait son approbation et fut heureuse de constater quil ny voyait aucun inconvénient. Elle accepta donc linvitation après que son mari lui dise : « Vas-y ma chérie, jai besoin de faire une petite sieste. Lentrepreneur se frottait les mains, il se voyait déjà en train de baiser la femme de son vieil ami. De son côté, Paul se réjouissait, il allait pouvoir correspondre avec ses filles Sabine et Stéphanie, pendant de longues minutes.
Ce fut ainsi que quelques minutes plus tard, Alban avait à la maison cette charmante bourgeoise pour lui tout seul. « Comment allait-elle sy prendre ? » Il avait hâte de voir ça. De son côté, Claire espérait que son charmant voisin avec lequel, elle fantasmait ne tarde pas à prendre les devants. Il lemmena au salon et lui servit une nouvelle coupe de champagne. Assis côte à côte sur le canapé, ils feuilletaient un catalogue de décoration, leurs mains se touchaient, leurs jambes se frôlaient, ils rirent de bon cur lorsque Claire en reposant son verre, en se penchant sur la table basse, laissa entrevoir, par son décolleté plongeant, la fine dentelle de son soutien-gorge.
Alban simaginait passer sa main dans ce corsage, afin de caresser ses seins lourds quil avait devant les yeux. Claire avait compris, elle savait quelle était en train dallumer son voisin. Alban sapprocha un peu plus et la tutoyant pour la première fois, lui dit : « Tu as une poitrine magnifique. » Claire rougit mais lui sourit en le remerciant du compliment.
Jai hâte de voir ce que cela donnerait dans votre salon.
Attends Claire ! Lui répondit-il en lattirant vers lui.
Le peintre passa sa main derrière son dos, juste au niveau des lombes et la plaqua contre lui. Il lui fit comprendre par son érection contre son ventre quil avait envie delle. Leurs visages étaient proches, leurs bouches à quelques centimètres, les yeux dans les yeux, ils attendaient que lautre approche ses lèvres. Ce fut elle qui savança pendant que lui pressait son corps contre le sien, lui faisant ressentir la grosseur de son sexe. Le baiser fut fougueux, la demi-heure passé ensemble à se toucher, les avaient tous les deux très excités :
Non Alban ! Nous faisons peut-être une bêtise, je suis mariée.
Soudain la sonnette à la porte les sortit de leurs pensées érotiques. Se sentant fautive, Claire devint toute rouge en voyant son mari sur le pas de la porte quAlban venait douvrir. Le couple dinvités, se retrouvait désormais au salon et buvait tranquillement le champagne avec Alban. Lorsque Paul avait raccroché le téléphone après la conversation avec ses filles, ayant des remords de laisser trop longtemps sa femme avec ce don juan, décida de venir les rejoindre. Paul impatient de rentrer faire lamour à sa femme, dit :
Tu ne crois pas que vous pourrez finir la déco plus tard ?
Claire ne regretta pas la venue de son mari, elle fut sauvée par le gong car elle était prête à faire une grosse erreur. Le fait davoir laissé sa femme seule avec Alban Tessier qui était réputé comme un baiseur fini et quelle pouvait ainsi le tromper, Paul avait accouru chez le voisin, la voyant rougir lorsquil était arrivé, lui donna une énorme érection.
Claire excitée elle aussi par le voisin et étonnée par son mari qui ne la touchait presque plus, essaya faiblement de sortir de cette étreinte, elle faisait semblant, cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle avait bien ressenti lérection que son mari avait entre les jambes et se plaqua encore un peu plus contre lui, passa ses bras autour de son cou afin de continuer ce baiser magique. Dans leurs bouches, leurs langues tournoyaient telles les danseuses de flamenco.
Paul lattira dans la buanderie, la fit sassoir sur le sèche-linge et lui déboutonna son chemisier, pressé dadmirer cette poitrine tant convoitée. Tout en continuant de lembrasser, il caressait, malaxait, et triturait ses seins lourds, il descendit sa bouche après avoir baissé la dentelle afin daccéder aux deux tétons gonflés par le désir, il les aspira, les lécha puis les aspira afin de les sucer comme un bébé le ferait pour se nourrir. Claire, les jambes écartées, les bras posés en arrière, offrait son buste à son mari.
Elle posa ses mains sur la tête de son homme et appuyait, il comprit quelle désirait quil descende un peu plus bas, sa langue se promena sur le nombril puis jusquà la ceinture de la jupe. Ne pouvant aller plus loin, il sagenouilla et sa tête disparut sous le tissu noir de sa jupe, les mains de Claire toujours sur sa tête. Avec ses caresses buccales et ses doigtés audacieux, elle prit son plaisir, Paul se délectait de sa jouissance. Il descendit sa culotte, le long de ses jambes gainées de nylon. Il déboutonna son pantalon, prit son pénis en érection et approcha doucement son gland à lentrée de la vulve mouillée de sa femme qui gémissait de plaisir :
Viens mon chéri ! prends-moi comme ça.
Elle sinstalla un peu mieux pour faciliter la pénétration et jouit une seconde fois sous les assauts de cette magnifique verge quil avait retrouvé, allant et venant en elle. Claire en rêvait, elle fut comblée. Elle roula des yeux lorsquelle senti dans son ventre les grands jets de sperme sortant de son phallus quelle imaginait sépandre dans ses entrailles.
Le lundi matin, Aurélien fit la connaissance de la première fille du patron, Stéphanie. Ses compétences professionnelles étaient largement au-dessus de la moyenne, cétait sans aucun doute la personne quil fallait au garage pour mener à bien cette entreprise en pleine ascension. Elle était heureuse de retrouver son père qui lui manquait beaucoup trop, surtout après le décès de sa mère, suite à une longue maladie. Après un divorce difficile, elle était bien décidée désormais à se donner à fond dans son nouvel emploi et était prête à mettre toutes ses connaissances et compétences au service de la concession Prévost.
Stéphanie était une femme de 38 ans, physiquement elle était superbe, très bien faite : 1m68 pour 56 kg. Sa poitrine, était dense et ferme avec un 90C de soutien-gorge. Sa coupe de cheveux châtain au carré, ses yeux rieurs comme sa demi-sur, la rendait irrésistible et pleine de charme. Elle était sans aucun doute, très classe en portant des robes ou des jupes au-dessus du genoux et sexy dévoilant ses jambes recouvertes de bas retenus par des porte-jarretelles. En haut, elle avait souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté, elle était fière de porter des sous-vêtements coquins.
Pendant lentretien début novembre 2008, Stéphanie nhésitait pas à fixer Aurélien, elle essayait de jauger et détudier lhomme que son père portait aux nues. Aucun doute, malgré quil soit de 8 ans son cadet, ce type lui plaisait physiquement mais restait toutefois le mari de sa demi-sur. Après avoir étudier toute lévolution de la société depuis ces dernières années, elle se rendit compte que professionnellement, il avait fait les bons choix et avait fait du petit garage Prévost une belle concession automobile.
Dans laprès-midi, elle vint le voir dans son bureau, sinstalla en lui demandant sil avait quelques instants à lui accorder. Stéphanie était énergique et autoritaire, son comportement était plutôt insolent, à la limite de larrogance. Elle lui parla de lentreprise et critiqua quelques choix et surtout comment elle voyait les choses pour lavenir afin daméliorer et faire prospérer lentreprise familiale. Aurélien avait écouté attentivement cette femme, il était impressionné par son aplomb et par la rapidité avec laquelle elle avait étudier la société mais nétait pas daccord sur tout et lui disait calmement à chaque occasion. Lassociation entre eux promettait dêtre houleuse plus dune fois.
Lorsque les débats sur les dossiers administratifs furent clos, elle enchaina avant de partir sur le plan personnel :
Aurélien, je ferai le travail de ta secrétaire, mais je ne suis pas ta soubrette. Tu as baisé ta belle-mère avant de dépuceler sa fille, mais ne crois pas que je vais écarter les cuisses à ton bon vouloir.
Bien Stéphanie ! Jessayerai de men souvenir. Cest tout ce que tu avais à me dire ?
Ok ! Bisous à demain
Stéphanie franchissait la porte lorsque Paul arrivait en catastrophe, en levant les bras. Il dit à sa fille de rentrer dans le bureau quil devait leur parler à tous les deux :
Claire croit que je la trompe, elle a lu les SMS que je tai envoyé Steph, elle pense que tu es ma maitresse. Jai été obligé de lui dire la vérité que tu es ma fille mais elle ne le croit pas. Je voudrais que vous veniez tous les deux à la maison ce soir diner pour confirmer mes dires.
Pas de problème papa, je viendrai. Tu vois où ça mène le mensonge mais nous allons remédier à cela.
Paul, ça ne me concerne pas cette histoire, pourquoi voulez-vous que je vienne ?
Toi Aurélien, Claire tadore, elle te fait confiance. Lidéal serait que vous fassiez semblant de sortir ensemble, ça enlèverait tous les doutes. Vous vous rendez compte, elle a failli coucher avec le peintre, elle ma dit quelle était allée jusquà lui rouler une pelle. Je nen reviens pas. Putain ! je laime, je ne veux pas la perdre.
Vous avez pris du viagra ? demanda Aurélien.
Oui, je suis allé chez le médecin ce matin, il ma prescrit un autre médicament que je dois essayer. Je me sauve, je compte sur vous, à tout à lheure après la fermeture.
Cest quoi de cette histoire papa ? demanda Stéphanie à son père qui partait en disant ;
Aurélien ten dira plus, je taime ma puce, merci
Après les propos de Paul et les explications dAurélien, Stéphanie compris que son père avait beaucoup destime pour lui et voyant la réaction du jeune associé, elle se rendait compte que cétait réciproque. Les deux hommes sappréciaient beaucoup, ses préjugés nétaient peut-être pas fondés, Aurélien nétait sans doute pas lhomme quelle simaginait. Malgré cela, cela lennuyait de faire semblant dêtre sa maitresse, même pour un soir, surtout après lui avoir dit ce quelle pensait de lui quelques minutes plus tôt. Néanmoins elle se devait daider son père et ferait le nécessaire pour sauver son couple, elle en avait suffisamment souffert.
Aurélien se réjouissait, ce contexte lamusait. Toute la soirée il profita de la situation, surtout lorsque Claire avait dit quils formaient un couple idéal. À ce moment, il lui avait pincé légèrement la cuisse et lui avait déposé un long baiser sur la bouche, en disant : « Tu vois ma chérie, tu es faite pour moi. » Stéphanie navait pas répondu, elle fit semblant de sourire et de le remercier mais lui pinça fortement la peau de sa cuisse sous la table. Pendant tout le repas, elle sétait sentie à sa merci, Aurélien fut bien trop entreprenant et cela la gênait. Cétait en général elle qui gérait ses histoires damour et de sexe, cétait elle qui choisissait avec qui et quand, elle emmenait un type dans son lit.
Si Aurélien avait abusé de la situation, il fit moins le malin lorsquil sétait retrouvé seul avec elle. Cette femme lavait subjugué, son caractère autoritaire et dominant limpressionnait, il se sentait tout petit à côté delle, il en était presque timide, lui si audacieux de nature. Stéphanie de son côté, avait très apprécié les petites caresses et les baisers dAurélien cela lavait très excité. Cependant son père lavait mise dans lembarras, elle devait se reprendre afin de démontrer à ce garçon que cétait elle qui dirigeait sa vie.
Sur le trajet du retour, voyant quAurélien restait muet, Stéphanie qui sétait aperçu de la complicité quil entretenait avec Claire lui demanda ouvertement sil sétait passé quelque chose entre eux. Après une réponse évasive de sa part, le sentant gêné par cette question directe, elle insista :
Ne me raconte pas de bêtises Aurélien, une femme ressent ces choses-là, dit-moi la vérité. A-t-elle trompé mon père avec toi ?
Je te jure que non ! Je peux simplement te dire que cest un peu grâce à moi que Paul a retrouvé lamour.
Ah bon ! Comment tas fait ?
Oui ! Cette femme navait plus confiance en elle, cest vrai, jai fait lamour avec elle toute une semaine, elle a pris son pied comme jamais, mais cétait avant quelle ne rencontre ton père. Depuis on est resté amis, cest tout. Je te jure que rien ne sest passé après, jaime trop Paul pour le trahir.
Tes quand même incroyable, tu baises tout ce qui bouge, des pucelles, aux femmes mâture. Enfin de compte on se ressemble beaucoup. Je crois que lon va bien sentendre tous les deux.
Pas toutes les femmes, que les très belles femmes. Oui ! En regardant bien, tu en ferais presque partie. Dit-il en blaguant.
Il gara sa voiture devant le petit hôtel de la ville, où elle avait pris une chambre avant de trouver un studio. Ils continuèrent à discuter dans lobscurité à lintérieur de lhabitacle. La conversation dévia sur Sabine. Stéphanie lavait vu lavant-veille et lui avait avoué que son mari lui avait fait beaucoup de mal, néanmoins elle ne lui en voulait pas, cétait de sa faute, elle connaissait Aurélien et savait que ce nétait pas un homme pour elle. Elle avait demandé le divorce, cependant elle ne lui poserait aucun problème et quelle ne ferait aucune difficulté pour la garde de leur .
À ce sujet, Stéphanie posa quelques questions sur Thomas et Véronique quelle ne connaissait pas :
Ce sont nos amis, ils sont supers, ils considèrent Axel comme leur fils. Justement, je suis invité demain soir, tu veux venir avec moi, je te les présenterai ?
Tu las baisée aussi elle ? Je me trompe ?
Sabine ne ta pas dit cela quand même ?
Ne tinquiète pas, elle ne sait rien, je le suppose cest tout, je pense te connaitre suffisamment maintenant.
Aurélien était tout penaud, cette femme lintriguait, il nétait pas du tout serein à ses côtés, pourtant, elle lattirait énormément mais il ne savait pas comment sy prendre, cétait la première fois quil se trouvait dans une situation comme celle-là. Ne sachant que faire, il avait bien lintention de lui proposer de passer la nuit ensemble mais nosa pas le lui demander :
Bon ! Ce nest pas tout cela, mais il se fait tard, à demain Stéphanie. Dit-il voulant changer de conversation.
Stéphanie descendit de la voiture en ne le quittant pas des yeux, passa côté conducteur et lui fit la bise en lui souhaitant bonne nuit. Elle mit ses deux mains sur ses joues, lui lécha les lèvres dun grand coup de langue et glissa à son oreille :
Tu me plais Aurélien, tu seras à moi et à moi seule quand je laurai décidé. Je vais te rendre fou. Finit-elle par dire en lui claquant un baiser sur ses lèvres. Allez ! Va-ten maintenant.
Aurélien passa une nuit exécrable, il navait pratiquement pas dormi ne pensant à Stéphanie qui laffolait et le mettait dans lembarras. Elle navait rien à voir avec toutes les femmes quil avait aimées, sinon quelle était aussi belle et sexy mais son caractère de dominatrice le fascinait. Il sen était rendu compte dès le lendemain au travail, ce fut elle qui lui donna les ordres en organisant les tâches quil devait exécuter dans la journée. Elle avait tenu à échanger les bureaux et il avait accepté sans dire un mot. À côté de cela, pendant toute la journée, elle fut très câline avec lui, elle lui fit de nombreuses caresses sur ses joues et lui fit plusieurs bisous sur les lèvres comme sils vivaient ensemble.
La suite de lhistoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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